Selon une « recette » bien connue, l’ensemble de nos sites industriels voient leurs effectifs calibrés pour la charge minimum, l’intérim et les CDD faisant office de variables d’justement pour passer les pointes d’activité. Si nous pouvons admettre ce principe pour des surcharges ponctuelles, force est de constater que Schneider abuse largement de l’intérim, avec jusqu’à 30% d’intérimaires en permanence dans certaines usines ! La CGT Alès vient de signer la victoire du pot de terre contre le pot de fer, et d’obtenir l’embauche de deux collègues. Une victoire qui en appelle bien d’autres, car ce combat est loin d’être terminé.
Intérim : la CGT ALES obtient deux embauches devant les tribunaux !
